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Le Kosovo a le regard tourné vers les investisseurs européens

Le Premier ministre du Kosovo, Isa Mustafa, a déclaré que les transferts de connaissances et technologiques venant des investisseurs européens représentent une contribution à long terme pour l’économie du Kosovo.

L’Union européenne représente un important partenaire économique du Kosovo, avec une participation de 40 % dans les importations et exportations, et une part des investissements étrangers directs de plus de 50 %. Le Premier ministre du Kosovo était présent à l’ouverture de la plateforme de dialogue entre les investisseurs européens et le gouvernement du Kosovo.

« Ce partenariat signifie un climat économique favorable […] pour l’économie du Kosovo. De bons exemples de ces acquisitions sont le secteur financier et bancaire, respectivement, qui montrent des effets multiplicateurs positifs pour notre économie. Il existe d’autres exemples de succès dans d’autres domaines », a déclaré Isa Mustafa.

Les personnalités suivantes étaient présentes lors de l’événement, le Chef du Bureau de l’UE au Kosovo, Samuel Zhbogar, le président du Conseil des investisseurs européens, Emmanuel Mitsou, ainsi que des représentants d’entreprises et des experts économiques.

Le Premier ministre Isa Mustafa a déclaré que les transferts des connaissances et technologiques venant des investisseurs européens représentent une contribution à long terme pour l’économie du Kosovo, qui reprend à son compte ces expériences et les met en œuvre sur le marché domestique.

« Nous nous attendons à ce que les investisseurs européens soient les principaux promoteurs des nouveaux investissements, tellement nécessaires pour notre économie. Le Kosovo a du potentiel économique et le climat que nous construisons y est favorable. Nous avons un marché du travail flexible et commode, une population jeune avec un âge médian de 26 ans, des salaires inférieurs à ceux des pays de la région et un système d’éducation qui s’améliore », a ajouté Mustafa.

En ce qui concerne les secteurs à fort potentiel, le Premier ministre a cité le secteur des technologies de l’information, le secteur agroalimentaire, le travail du bois, l’exploitation minière, l’énergie, le tourisme, le traitement des textiles et le traitement du cuir, « pour lequel nous avons l’expérience exigée sur le marché local, le marché régional et celui européen ».