Brèves

Bilan 2021 du Service spécialisé Extrémisme dans l’armée

La grande majorité, soit 75 %, concernait des cas présumés d’extrémisme de droite

Au cours de l’année sous revue, le Service spécialisé Extrémisme dans l’armée a traité 50 demandes et annonces. En 2021 également, la majorité des cas relevait d’une présomption d’extrémisme de droite. L’armée poursuit sa stratégie de tolérance zéro.

Le service spécialisé Extrémisme dans l’armée a reçu 50 demandes et annonces en 2021. La grande majorité, soit 75 %, concernait des cas présumés d’extrémisme de droite. Les autres formes d’extrémisme, que ce soit de gauche, ethno-nationaliste ou à motivation djihadiste, n’ont été thématisées que ponctuellement.

Aucun changement significatif n’est à noter par rapport aux années précédentes. En 2021 également, il s’agissait surtout de cas isolés en rapport avec des signalements de possibles activités extrémistes dans la vie civile. Aucun acte de violence ni événement susceptible de compromettre la sécurité n’a été enregistré.

L’armée continue d’appliquer de manière systématique les prescriptions légales en vigueur et reste fidèle à sa stratégie de tolérance zéro. Elle a ainsi veillé à familiariser l’ensemble de ses futurs chefs et cheffes de section ainsi que commandants et commandantes d’unité ou d’école avec le sujet de l’extrémisme.