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« Agir pour la qualité de vie des citoyens signifie aussi conduire une politique du dialogue et du partenariat »

Le 20 octobre, les électeurs suisses éliront un nouveau parlement. Dans le canton de Vaud, les citoyennes et citoyens seront invités à désigner leurs 19 représentants au Conseil national ainsi que leurs 2 conseillers aux Etats. Découvrez quelques candidats en lice au profil varié.

Laurent Wehrli, candidat au Conseil national, Les libéraux-radicaux, Vaud.

Journaliste de profession, il est actuellement à la tête d’une société de conduite de projets, notamment internationaux, d’organisation de conférences et de relations publiques. Son engagement en tant que Secrétaire général adjoint du Département vaudois chargé de l’instruction publique et délégué aux affaires transfrontalières et européennes du Canton de Vaud marque particulièrement sa carrière. Laurent Wehrli est marié et père de 5 enfants, est candidat ..

Qui est Laurent Wehrli ?

J’assume les fonctions politiques de Syndic de Montreux (depuis 2011) et de Conseiller national (depuis 2015), après avoir été Conseiller municipal de Montreux (élu en 2000) et membre du Grand Conseil (2002-2015 ; président 2013-2014). Je suis membre de la Commission de politique extérieure et dans la délégation du Parlement suisse à l’Union internationale des parlements. Je suis par ailleurs président des pompiers suisses, de Curaviva Suisse (association des établissements médico-sociaux et des institutions pour les personnes en situation d’handicap), comme de Pro Senectute Vaud. Je suis né en 1965 et suis papa de cinq enfants et déjà grand-papa de deux petites filles.

Pourquoi êtes-vous engagé en politique ?

Je me suis engagé en politique avec la volonté de servir, motivation à la base aussi de mon engagement dans les sapeurs-pompiers. Mes valeurs sont en faveur de la liberté, de la responsabilité et de la solidarité. Ce sont celles mis en avant par le parti PLR, dans lequel je suis engagé depuis mes 16 ans (à l’époque Parti radical vaudois). Je souhaite faciliter l’esprit d’entreprise et suis attentif au respect de l’autonomie et des capacités d’action des trois niveaux institutionnels que sont les communes, les cantons et la Confédération, en un mot le fédéralisme. J’ai aussi toujours été attentif à l’importance des relations internationales pour un pays comme la Suisse, dont l’économie est nécessairement tellement tournée sur l’exportation. La Suisse a un rôle international aussi par ses actions de bons offices et d’aide au développement.

Comment comptez-vous améliorer la qualité de vie des citoyens ?

Dans le suivi de mon bilan politique et des actions conduites ces dernières années, je souhaite pouvoir poursuivre mon engagement au profit des habitantes et habitants de notre pays, ainsi que de nos hôtes du monde entier. La qualité de vie dépend de nombreux facteurs, notamment : sécurité intérieure et extérieure, possibilité d’entreprendre et de développer les activités économiques sources d’emploi, adaptation aux nouvelles technologies et donc à l’innovation, protection nécessaire en matière de santé et de sécurité sociale pour les personnes qui le nécessitent, enfin effort en faveur de la formation et tout spécialement la formation continue indispensable au maintien de la capacité de travailler de manière adéquate et efficiente et ce à tout âge !

Agir pour la qualité de vie des citoyens signifie aussi conduire une politique du dialogue et du partenariat, sans polarisation et avec une vraie recherche de consensus engageant et permettant d’atteindre les objectifs utiles. C’est ce à quoi je m’engage.